Libéré ou non, selon le juge militaire Sikati c’est une affaire de faux documents

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Le juge militaire Sikati affirme que les documents de libération provisoire d’Amougou⁣ Belinga sont faux, vrais ou faux? libéré ou non?

Amougou Belinga, un homme⁣ d’affaires camerounais soupçonné d’être responsable du meurtre⁤ du journaliste Martinez Zogo, ne sait toujours pas où il se ⁢trouve. Le juge militaire ‌chargé de l’affaire a jugé⁤ que les documents officiels relatifs‌ à la libération ‍provisoire étaient faux, bien qu’ils​ aient⁤ été rendus publics ‍et largement diffusés par le ⁢site d’information⁣ 237actu.com.

Cette information a suscité ​la controverse et ‍soulevé de nombreux problèmes. Passons en revue les faits une fois de ⁤plus. Selon des documents consultés par 237actu.com, le lieutenant-colonel Florent⁣ Aim Sikati II Kamwo, juge d’instruction ‌au tribunal militaire de Yaoundé, aurait ordonné la libération⁣ provisoire d’Amougou Belinga et de⁢ son⁢ co-accusé, Lopold Maxime Eko-Ekoke.

Selon certaines ⁣informations, ​le magistrat a décidé que la détention des ⁤deux hommes n’était pas justifiée sur‍ la base des preuves présentées ‍contre eux. ‌Cependant, quelques heures plus tard, le‍ juge Sikati Kamwo⁤ II est revenu​ sur sa ‌décision et a déclaré que les documents de libération en circulation étaient en ⁣fait des faux.

La situation est ‌désormais incertaine à la suite de‌ cette annonce, et Amougou Belinga et Edo Eko sont toujours incarcérés. Le chaos qui entoure cette affaire est illustré par le fait que de‌ faux ‍documents de ⁤libération provisoire ont‌ été diffusés, ⁤partagés⁢ par de⁢ nombreux médias et publiés sur ⁢les ⁤réseaux‌ sociaux.

Des documents falsifiés circulent. Qui a‍ créé ces faux documents et pourquoi ? C’est actuellement une question sans réponse. Où‍ est la vérité ?

À la lumière de cette tournure inattendue des événements, la question de savoir où se situe la vérité ⁣devient cruciale. Les deux ​accusés⁢ sont ‍toujours en ⁢détention préventive malgré les premières informations concernant leur libération. Cette circonstance vient s’ajouter à une longue liste de scepticisme et d’incertitude concernant le système juridique du pays.

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