Dans l’édition Club d’Elites du 28 janvier sur Vision 4, l’économiste renommé Dieudonné Essomba a exprimé ses doutes quant à l’affaire Bopda, qui a fait l’objet d’un buzz médiatique sur les réseaux sociaux. Selon lui, l’idée qu’un criminel de grande envergure puisse être protégé par les autorités depuis des années et qu’une personne lambda puisse le dénoncer soudainement est tout simplement ahurissant.
Il est difficile pour lui de croire que cette affaire aurait pu passer inaperçue aussi longtemps, sans qu’au moins une victime ne dénonce ces actes de violence. Pour appuyer son point de vue, il prend son propre exemple : si sa propre fille devenait victime d’un viol, il se battrait de toutes ses forces pour que justice soit faite, peu importe le statut social de l’agresseur.
Malgré le flot de témoignages accablants contre Bopda, Essomba reste ferme dans sa conviction. Il pose alors une question pertinente : qui, en dehors du Président de la République, a le pouvoir de arrêter impunément des individus au Cameroun ? Une interrogation qui laisse perplexe.
Il est indéniable que cette affaire Bopda, impliquant un potentiel violeur en série, soulève de nombreuses interrogations et suscite l’indignation des observateurs. Certains, comme Dieudonné Essomba, y voient un montage et s’interrogent sur les possibles motivations des personnes impliquées dans cette affaire.
En attendant que la vérité éclate, une chose est sûre : l’affaire Bopda ne laisse personne indifférent et continue de faire couler beaucoup d’encre au Cameroun.