Le 9 avril 2024, une photo choquante a fait le tour des réseaux sociaux. On y voit d’immenses tas de coton en train de brûler, sous les yeux des pompiers qui s’activent pour lutter contre les flammes. La vue est inquiétante, car il est déjà midi et il leur faudra des heures pour venir à bout de cet incendie dévastateur. Selon le lieutenant-colonel Patrick Djaoyang Djorwé, commandant du 40ème groupement de sapeurs-pompiers basé dans l’Extrême-Nord, environ 30% des tas de coton ont été touchés, représentant environ 500 tonnes chacun.
Imaginez-vous en train de tout donner pour combattre un feu qui ne cesse de se propager autour de vous. C’est exactement la réalité à laquelle sont confrontées les équipes de sapeurs-pompiers qui travaillent sans relâche pour sauver ce qu’il leur est possible. Toutefois, la tâche est complexe car les causes de l’incendie restent un mystère et les conditions climatiques ne sont pas en leur faveur. « Nous sommes plongés dans la bataille et espérons avoir tout maîtrisé d’ici 18 ou 19 heures. Mais la fumée qui continue de se dégager nous indique que le feu est toujours présent quelque part », a déclaré le lieutenant-colonel.
La gravité de la situation est confirmée par la déclaration du gouverneur de l’Extrême-Nord, Midjiyawa Bakari, qui explique que la température de 45°C à l’ombre et le vent sont des facteurs aggravants, en plus du fait que le coton est un matériau hautement inflammable. Mais alors, qu’est-ce qui a causé cet incendie ? Personne ne le sait encore. Une enquête est en cours avec la gendarmerie nationale pour trouver l’origine de ce drame.
En attendant, la Société de Développement du Coton (Sodecoton) subit les conséquences de cet incident. Les performances de l’entreprise seront certainement affectées.
Le 9 avril 2024, une photo choquante a fait le tour des réseaux sociaux. On y voit d’immenses tas de coton en train de brûler, sous les yeux des pompiers qui s’activent pour lutter contre les flammes. La vue est inquiétante, car il est déjà midi et il leur faudra des heures pour venir à bout de cet incendie dévastateur. Selon le lieutenant-colonel Patrick Djaoyang Djorwé, commandant du 40ème groupement de sapeurs-pompiers basé dans l’Extrême-Nord, environ 30% des tas de coton ont été touchés, représentant environ 500 tonnes chacun.
Imaginez-vous en train de tout donner pour combattre un feu qui ne cesse de se propager autour de vous. C’est exactement la réalité à laquelle sont confrontées les équipes de sapeurs-pompiers qui travaillent sans relâche pour sauver ce qu’il leur est possible. Toutefois, la tâche est complexe car les causes de l’incendie restent un mystère et les conditions climatiques ne sont pas en leur faveur.
« Nous sommes plongés dans la bataille et espérons avoir tout maîtrisé d’ici 18 ou 19 heures. Mais la fumée qui continue de se dégager nous indique que le feu est toujours présent quelque part », a déclaré le lieutenant-colonel.
La gravité de la situation est confirmée par la déclaration du gouverneur de l’Extrême-Nord, Midjiyawa Bakari, qui explique que la température de 45°C à l’ombre et le vent sont des facteurs aggravants, en plus du fait que le coton est un matériau hautement inflammable. Mais alors, qu’est-ce qui a causé cet incendie ? Personne ne le sait encore. Une enquête est en cours avec la gendarmerie nationale pour trouver l’origine de ce drame.
En attendant, la Société de Développement du Coton (Sodecoton) subit les conséquences de cet incident. Les performances de l’entreprise seront certainement affectées.