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Nouvelle étude révélant les effets surprenants de la consommation d’ail : découvrez ses bienfaits insoupçonnés !

Il est connu qu’ajouter de l’ail à son alimentation peut avoir un impact positif sur la santé. Il a été récemment prouvé par une revue de recherche que la consommation d’ail est associée à une baisse du taux de sucre et de cholestérol sanguin. Mais comment l’ail peut-il influencer ces taux ?

Des scientifiques de l’Université du Sud-Est et de l’Université Xizang Minzu en Chine ont mené une méta-analyse pour répondre à cette question. Ils ont découvert une corrélation significative entre la consommation d’ail et la réduction des taux de cholestérol et de sucre sanguin. Selon eux, l’ail pourrait devenir une option thérapeutique pour les personnes souffrant de troubles métaboliques tels que les troubles du métabolisme des lipides et du glucose. L’ail a de nombreux bénéfices pour la santé.

Le glucose et les lipides sont des éléments nutritifs essentiels qui fournissent de l’énergie au corps. Le niveau de sucre et de graisse dans l’organisme est principalement influencé par l’alimentation, mais également par d’autres facteurs tels que la consommation d’alcool et l’activité physique. Les auteurs de la publication soulignent que chez les personnes en bonne santé, le métabolisme du glucose et des lipides est régulé avec précision, mais que des perturbations de ces éléments peuvent entraîner de nombreuses maladies chroniques comme l’athérosclérose, le diabète et la stéatose hépatique.

L’ail est associé à des effets bénéfiques sur la santé depuis longtemps. Des études antérieures ont montré qu’il pouvait réguler les niveaux de lipides et de sucre dans l’organisme. Cela s’explique par la présence d’un composé appelé allicine, connu pour ses propriétés antibactériennes, antifongiques et antivirales.

Des études sur des animaux ont démontré que l’allicine pouvait réduire le taux de cholestérol. Dans cette méta-analyse, les chercheurs ont étudié 29 études portant sur 1 567 personnes de différents pays et groupes d’âge. Pour être incluses, les études devaient avoir administré de l’ail aux participants pendant plus de deux semaines et mesurer les taux d’hémoglobine glyquée (HbA1c), la glycémie à jeun, le cholestérol total, le cholestérol HDL (lipoprotéines de haute densité), le cholestérol LDL (lipoprotéines de basse densité) et les triglycérides.

Les résultats ont montré que la consommation d’ail était associée à une baisse significative du taux de cholestérol et de sucre sanguin. Cela témoigne de son efficacité dans la prévention et le traitement de certaines maladies cardiovasculaires et métaboliques.

Il est intéressant de noter que les différentes études incluses dans cette méta-analyse différaient en termes de doses d’ail utilisées et de formes de prise. La durée des études était également variable. Il est donc difficile de déterminer exactement quels sont les composés chimiques de l’ail qui sont responsables de ces effets positifs. Mis à part l’allicine mentionnée précédemment, les chercheurs pensent que l’alliine et le disulfure de diallyle pourraient également jouer un rôle, mais des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer le mécanisme d’action de ces composés.

Bien que cette étude ne modifie pas les recommandations alimentaires, il est important de souligner que l’ail est un complément sain à presque tous les régimes alimentaires. Il est facile de l’ajouter à nos repas.

En conclusion, n’hésitez pas à inclure régulièrement de l’ail dans votre alimentation pour profiter de ses nombreux bienfaits sur votre santé, notamment en termes de réduction du taux de cholestérol et de sucre sanguin.

Source : Nutrients

Cette étude le prouve: une simple marche de 30 minutes peut guérir cette douleur fréquente

Si vous souffrez de douleurs lombaires récurrentes, vous n’êtes pas seul. Environ 70 % des personnes qui se remettent d’un épisode de lombalgie connaîtront une nouvelle douleur dans l’année suivante. Ce fardeau, tant individuel que pour le système de santé, est énorme.

Une nouvelle étude publiée dans The Lancet suggère que la marche associée à l’éducation peut efficacement réduire la récurrence de la lombalgie. Dans cette étude, 701 adultes ont été répartis au hasard dans un groupe recevant un programme de marche personnalisé et des séances d’éducation, et un groupe témoin sans traitement.

Le groupe bénéficiant du programme de marche a été suivi par des physiothérapeutes au cours de six séances étalées sur six mois. Les participants ont été encouragés à marcher cinq fois par semaine pendant 30 minutes chaque jour. De plus, ils ont reçu de l’éducation de la part des physiothérapeutes pour mieux comprendre leur douleur et gérer eux-mêmes tout nouvel épisode.

Les résultats ont montré que le risque de récurrence de la lombalgie a été réduit de 28 % et de 43 % de consultations médicales dans le groupe bénéficiant du programme de marche. De plus, ces résultats ont été obtenus de manière rentable, en réduisant les coûts liés à l’absentéisme au travail et l’utilisation des services de santé.

Cependant, il faut noter que cette étude présente certaines limites, notamment la majorité de participants étant des femmes âgées de 43 à 66 ans et bien instruites. De plus, l’efficacité de cette intervention réalisée par d’autres professionnels de la santé n’est pas encore connue.

La marche présente de nombreux avantages pour la santé, notamment une meilleure santé cardiaque, un meilleur sommeil et une réduction du risque de maladies chroniques. De plus, c’est une forme d’exercice accessible à tous et gratuite. Bien que cela ne soit pas la préférence de tout le monde, la plupart des participants ont apprécié l’intervention et ont continué à marcher de manière indépendante après la fin du programme.

Quant à la marche en tant que prévention des douleurs lombaires, on pense que cela peut être dû à une combinaison de mouvements doux et de renforcement des muscles et structures vertébrales. Cela pourrait également être lié à la relaxation et au soulagement du stress, ainsi qu’à la libération d’endorphines de « bien-être », qui bloquent les signaux de douleur entre votre corps et votre cerveau, ce qui revient essentiellement à réduire la douleur.

Il est possible que d’autres formes d’exercice, telles que la natation, puissent également être efficaces pour prévenir les douleurs lombaires, mais cela n’a pas encore été étudié. Ces résultats nous rapprochent de l’objectif de prévenir les douleurs lombaires, étape par étape. Alors, pourquoi ne pas sortir et faire une petite promenade pour votre santé ?

Non, vous n’êtes pas vieux à 34 ans ! Découvrez l’âge réel de la vieillesse selon une étude

La notion de vieillissement peut être source d’angoisse pour de nombreuses personnes qui atteignent la trentaine. Cependant, il est important de réaliser que la vieillesse est encore loin pour vous, bien plus que ce que vous pouvez imaginer. En effet, de nos jours, on entend souvent dire que 50 ans serait le nouveau 40 ans, ce qui peut nous faire nous interroger sur les raisons de ce changement. Est-ce en raison de l’évolution de nos modes de vie ou de réelles transformations biologiques ?

Quoi qu’il en soit, une chose est sûre : à l’âge de 34 ans, vous n’êtes pas vieux, loin de là, vous êtes même dans la force de l’âge. Malgré le souhait de repousser le vieillissement, il arrive un moment où il faut objectivement accepter cette réalité. Heureusement, avec l’espérance de vie actuelle, cet âge d’acceptation est assez avancé. Cependant, si vous voulez connaître avec précision le moment où la vieillesse commence d’un point de vue biologique, l’université de Stanford a mené une étude qui peut répondre à vos interrogations.

Cette étude a consisté à mesurer les niveaux de 2925 protéines présentes dans le plasma sanguin. Les résultats ont montré que ces niveaux augmentent jusqu’à l’âge de 34 ans, puis se stabilisent jusqu’à l’âge de 60 ans, où l’on observe une légère diminution. Ce n’est qu’à partir de 78 ans qu’une baisse drastique et significative est constatée. Donc, scientifiquement parlant, c’est à cet âge que l’on entre réellement dans la phase de vieillesse.

Bien entendu, chaque individu étant unique et ayant un mode de vie différent, ces résultats peuvent varier, mais en général, cela correspond à l’âge où l’on entre “officiellement” dans la vieillesse.

Il est également important de noter que le vieillissement n’est pas uniforme et peut varier selon les organes. Cependant, il existe des symptômes facilement identifiables pour déterminer le début de la vieillesse, tels que la perte de masse musculaire, une diminution de l’acuité sensorielle, des taches cutanées, des rides ou encore des difficultés à s’endormir.

Il est également important de souligner que le vieillissement ne se limite pas à un seul type, mais qu’il en existe plusieurs. Le vieillissement biologique, chronologique et psychologique peuvent survenir à différents moments de la vie et ne sont pas toujours synchronisés. L’essentiel est donc de se sentir jeune le plus longtemps possible et de rester actif tant que votre corps vous le permet. En suivant ces conseils, vous pourrez profiter pleinement de la vie, peu importe votre âge.