jeudi, novembre 28

La décision surprenante de la fondatrice d’une startup de yoga : Refus d’achats à une vente réussie !

La fondatrice de la startup Akira, Alicia Stäcker, a su profiter de la pandémie en créant une plateforme de yoga en ligne qui a attiré des milliers d’utilisateurs et a rapidement généré des revenus à cinq chiffres. Aujourd’hui, une entreprise de yoga a racheté la startup et continue de la faire prospérer. Mais derrière ce succès se cachent une idée révolutionnaire et une approche marketing novatrice qui ont permis à Akira de se démarquer de la concurrence et de fidéliser une communauté de passionnés de yoga.

Tout a commencé pendant le lockdown en 2020, lorsque Alicia Stäcker, jusqu’alors responsable de la conception de produits numériques dans des entreprises de conseil et des startups, a décidé de suivre une formation de professeur de yoga en Thaïlande. Elle envisageait alors de devenir professeure de yoga dans des studios berlinois, mais la pandémie a bousculé ses plans. C’est alors qu’elle a eu l’idée de créer une plateforme de yoga en ligne – Akira – qui offrirait une alternative plus rentable aux enseignants de yoga ainsi qu’un accès illimité et sans contraintes pour les clients.

En utilisant une technique de streaming inspirée des jeux vidéo, Stäcker a pu offrir une qualité et une expérience de cours en direct inégalées sur sa plateforme. En combinant cela avec un modèle d’abonnement, elle a rapidement attiré des dizaines de milliers d’utilisateurs. Mais ce qui a réellement fait décoller Akira, c’est son approche marketing basée sur les influenceurs. En recrutant des professeurs de yoga populaires, ainsi que des micro-influenceurs qui utilisaient déjà la plateforme et la recommandaient à leur communauté, Stäcker a réussi à attirer et à fidéliser des milliers de clients, assurant ainsi un chiffre d’affaires à cinq chiffres.

Alors que la pandémie s’apaise, la communauté d’Akira reste fidèle à la plateforme, grâce à une multidisciplinarité et une accessibilité qui en ont fait bien plus qu’un simple produit numérique. Et bien que la fondatrice ait reçu plusieurs offres de rachat après seulement un an, elle a choisi de continuer à développer son propre projet avant de céder aux demandes de l’entreprise de yoga Yagom, qui avait une audience similaire et avait déjà fait ses preuves en matière de marketing d’influence.

Aujourd’hui, Alicia Stäcker profite d’une pause bien méritée après trois années intenses à la tête d’Akira. Mais elle ne s’arrête pas pour autant, et rêve déjà de créer une nouvelle entreprise dans le domaine du numérique ou du yoga. Elle encourage également d’autres femmes entrepreneurs à poursuivre leurs rêves, car comme elle l’a prouvé avec Akira, une idée révolutionnaire peut mener à un succès fulgurant et inattendu.

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