L’alliance pour une IA protégée : Nigeria, Angleterre et 16 nations s’unissent !

Il est désormais essentiel de réfléchir à la manière de protéger l’IA en raison de‌ son utilisation ‌croissante. Un accord historique visant à améliorer la ⁣cybersécurité de l’IA a été signé par 18 pays le dimanche 26 novembre.

Selon ce document de 20 pages, les entreprises qui créent, utilisent ou commercialisent l’IA doivent s’engager à protéger‌ les utilisateurs et le grand public contre toutes les formes⁣ d’abus.

Bonne nouvelle ! Pour créer les ‌”Directives pour le développement en toute sécurité des⁢ systèmes d’IA”, nous avons collaboré avec le NCSC et 21 partenaires internationaux. C’est une collaboration opérationnelle visant à garantir la sécurité de l’IA à l’ère numérique.

Selon ​Jean Easterly, directeur de la Cyber and Infrastructure Security Agency des États-Unis, la publication de⁢ ces directives représente une étape cruciale dans⁣ notre ⁣engagement collectif à garantir le développement​ et le déploiement d’IA sécurisées dès leur conception. Trois semaines se sont écoulées depuis⁣ le premier sommet mondial sur l’intelligence‌ artificielle, qui ⁣s’est tenu à Bletchley Park, en Angleterre, du 1er au 2 novembre, lorsque ce nouvel ‌accord a été conclu.

Cela témoigne de la volonté commune des dirigeants⁢ politiques de travailler ensemble face aux avancées rapides de l’IA.‌ L’accord comprend un certain nombre d’autres suggestions en plus du principe de‌ conception sécurisée, telles⁢ que la protection des données, la surveillance étroite des fournisseurs de logiciels et le renforcement de la sécurité du⁤ système pour empêcher les intrusions.

Les États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Italie, la République ​tchèque, l’Estonie, la Pologne, l’Australie, le Chili, Israël, le Nigeria, Singapour, le Japon, ⁣la Corée du Sud, la Norvège, la France, la Nouvelle-Zélande, le Canada et l’Allemagne sont les 18 pays qui ont ratifié ‌l’accord. Il convient de noter que les ⁢sanctions américaines ont empêché la Chine, l’un des leaders de l’IA, de participer à l’accord.

En conclusion, cet accord historique témoigne‌ de l’engagement⁢ des ⁣pays signataires à‍ travailler ensemble pour protéger les utilisateurs et le grand public dans un monde de plus en plus connecté et dépendant de l’IA.

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