Le quartier de Nsam a été secoué par un événement tragique qui a choqué et consterné toute la communauté. Sylvie Louisette Ngo Yebel, une femme passionnée et dévouée à la préservation de l’environnement et de la biodiversité, a été sauvagement assassinée dans sa propre maison. Son corps mutilé a été découvert dimanche matin, laissant derrière elle une communauté en deuil et en état de choc.
La victime, surnommée « la gardienne de la nature » par les habitants, était une femme remarquable, aimée et respectée par tous. Elle travaillait sans relâche pour protéger notre environnement et préserver la vie des espèces menacées. Cependant, sa vie a été tragiquement interrompue, laissant derrière elle un grand vide dans nos cœurs.
Les informations recueillies ont révélé que le principal suspect de ce meurtre atroce n’est autre que le fils de Sylvie, Batek Yebel Landry. Diplômé de l’Enam et âgé d’une vingtaine d’années, il aurait avoué avoir tué sa mère et mutilé son corps avant de le cacher dans deux valises jetées dans un ruisseau près de leur domicile à Etoa-Meki. Un acte impardonnable qui a choqué tout le monde.
Les proches de la famille et de la victime ont déclaré que cette affaire n’était pas nouvelle et qu’elle avait été étouffée en silence pour éviter l’incarcération de Batek. Mais cette fois-ci, l’irréparable a été commis et nous avons perdu une femme dévouée, passionnée et aimée par tous. Elle était une figure exceptionnelle et son engagement envers la nature était inspirant pour tous. Sa perte est une perte immense pour la communauté et pour la lutte pour la préservation de l’environnement. Dans ces moments de douleur, nous devons aussi nous rappeler que la violence ne doit jamais être tolérée ou cachée.