Vidéos d’un homme (apparemment le sous-préfet Jean Patrick Abena) se masturbant devant une caméra ont fait leur apparition sur les médias sociaux, forçant l’autorité à répondre via les réseaux sociaux. Bien entendu, Jean Patrick Abena affirme que les vidéos qui ont été diffusées sont des montages bien réalisés. Il ajoute également que ses différents comptes sur les médias sociaux ont fait l’objet de tentatives de piratage.
Selon le lanceur d’alerte Nzui Manto, le sous-préfet ment. L’homme dans la vidéo se donnant du plaisir en regardant (d’après lui) en direct une femme qui elle aussi se masturbe est bien Patrick Abena.
« Monsieur le sous-préfet, vous ne dites pas la vérité. Vos différents comptes sur les médias sociaux n’ont en fait jamais fait l’objet d’un piratage. Un escroc d’Afrique de l’Ouest (Bénin ou Côte d’Ivoire) a fait passer pour une demoiselle, en utilisant un faux profil. Présent sur votre liste d’amis sur Facebook, ce faux profil que vous pensiez être Madonna a échangé avec vous pendant plusieurs jours et parvint à vous séduire. Monsieur le chef de terre, qui ne résisterait pas devant une paire de jambes bien jaunes ? Vous vous êtes donné rendez-vous pour une partie chaude par vidéo. Nu Adam et Ève, vous étiez convaincu que cette femme caressant ses seins et frottant son bas-ventre était celle qui figure dans la liste de vos amis. Sauf que ce n’était en fait que des extraits d’une vidéo pornographique que l’escroc avait préalablement téléchargés depuis un site pour adultes, et qui a été diffusée lors de votre appel vidéo », a écrit le lanceur d’alerte.
« Ce que vous ignoriez également est qu’il enregistrait vos ébats. Et plus tard vous avez découvert le piège dans lequel vous étiez tombé! L’escroc vous a fait chanter, vous lui aviez versé de l’argent, mais à chaque fois il réclamait plus. Le 14 juillet de cette année, vous avez fait cette publication en essayant d’anticiper la situation et surtout de préparer l’opinion publique sur des prétendus pirates qui se seraient emparés de vos comptes. Il y a un journaliste sportif au Cameroun qui a vécu le même scénario et qui est venu me voir pour m’expliquer son calvaire. Je lui ai conseillé de changer de numéro. Chaque fois que ce journaliste entend le mot ‘sextape’ dans les médias sociaux, il est à deux doigts de s’évanouir », a ajouté Nzui.
C’est tellement dégoûtant! wow: choc!
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