Tragédie au Nigeria: Une Étudiante de l’Université de Kwara se suicide

Rashidat Shittu, une étudiante de premier cycle à l’université de⁤ l’État de Kwara,‌ a tragiquement mis fin à sa vie à la veille de ses examens en‍ ingérant un insecticide. Selon ses amis et les employés de l’unité des affaires étudiantes ​de l’université, elle aurait succombé⁣ à la ⁣pression scolaire et à ses ⁤mauvais résultats.

La jeune femme de 23 ans aurait été déclarée morte à son arrivée à l’hôpital universitaire d’Ilorin, où elle avait été conduite d’urgence‍ après avoir ingéré ​du ⁤poison. Ses camarades de ​classe ‌ont révélé qu’elle avait parlé de ses difficultés académiques avant de se rendre dans la clinique de l’école pour recevoir‌ de l’aide. Cependant, son état ne s’est⁣ pas​ suffisamment amélioré et ⁢elle a été transférée à l’hôpital‌ universitaire pour des ​soins d’urgence.

Malheureusement, elle n’a pas pu être‍ sauvée et est ⁣décédée peu​ de temps après⁣ son arrivée.⁣ Un membre du personnel​ de l’UITH a déclaré sous couvert d’anonymat que Rashidat‌ avait​ été amenée déjà​ décédée. La‌ communauté ⁣est choquée et dévastée par cette perte ​tragique et des résidents ont⁢ assisté à son enterrement au cimetière‌ musulman d’Osere, Ilorin.

La famille ainsi ⁤que des ‌membres du personnel⁢ de l’université ont assisté aux funérailles, témoignant de l’ampleur du chagrin causé ⁣par la perte⁢ de cette jeune étudiante. ⁢En réaction à cet incident, l’université a publié une déclaration dans laquelle ⁢elle exprime ses condoléances à⁢ la famille et aux amis de Rashidat. ⁤La communauté universitaire est également encouragée à offrir ​un soutien aux étudiants qui pourraient être ⁤confrontés à des difficultés ⁤similaires.

Le suicide est un problème persistant parmi les étudiants dans le monde entier et il est important que nous prenions tous‌ conscience ‌de l’ampleur de la pression ⁤académique sur les jeunes. Les études devraient être ‍une période passionnante et⁢ formatrice pour les étudiants, et⁢ non une source de stress et ‍d’anxiété. En tant que société, nous devons trouver des moyens de ‌soutenir davantage ​les jeunes et d’encourager un environnement universitaire où la santé mentale des étudiants est une ⁢priorité.

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