Révélations choquantes après la mort : maîtresse et enfant non reconnu de Kelvin Kiptum au Kenya

Une femme de 22 ans, prétendant⁤ avoir eu un enfant avec le détenteur du ⁣record du monde du marathon, Kelvin Kiptum, ⁢a choqué les ⁢médias⁤ en révélant des détails choquants sur leur ⁤relation secrète. Edna Awuor a parlé de sa vie avec le ⁢marathonien, laissant entrevoir un aspect intime méconnu du public.

Lorsqu’elle a pris la parole devant les journalistes, Awuor ⁣a décrit Kiptum comme un ‌homme affectueux et attentionné, ⁣qui prenait soin d’elle‌ et ⁣de leur bébé. Elle a mentionné que Kiptum​ lui ⁢avait‌ promis de lui ‌envoyer de l’argent pour subvenir ⁤à leurs besoins, mais ce‍ rêve s’est brusquement envolé lorsqu’il a trouvé la mort dans un accident de ⁢voiture.

“Lors de notre dernière conversation, il m’a dit qu’il ‍venait à Eldoret pour me donner l’argent dont j’avais besoin pour m’occuper de notre bébé”, a-t-elle révélé, les yeux remplis de larmes.

Awuor a ‍continué à décrire leur ‍relation secrète, en détaillant comment⁢ ils ont vécu⁣ ensemble en tant que famille. Elle a expliqué que la seule fois où ils ont été séparés, c’est lorsqu’elle a dû retourner chez ses parents pour accoucher.

Cependant, ⁢malgré leur vie commune et la naissance de leur ‍enfant, Awuor a déclaré que la ⁣famille de Kiptum ne l’avait pas reconnue. Elle a été ignorée lors ​des funérailles et a même été exclue de l’éloge funèbre. Elle a également avoué que ⁢même Kiptum n’avait pas officiellement reconnu leur enfant.

Pour prouver la ​paternité⁢ du bébé, ⁣Awuor a déposé une requête devant le tribunal, demandant l’examen de l’ADN de l’athlète​ décédé. Elle a expliqué qu’elle avait déposé cette demande⁤ parce que le bébé était sa seule responsabilité et qu’elle avait besoin d’une confirmation légale ⁣de​ la paternité.

Cependant, le juge Robert Wananda de la ⁢Haute ⁤Cour a​ refusé d’accorder les ordonnances demandées, invoquant⁢ l’intérêt public et le choc que cela causerait à la famille du défunt. Il a ajouté que l’enterrement était ‌déjà⁢ en préparation ⁢et qu’il serait déplacé de le stopper.

Malgré cette décision, Awuor a tenu à ce que le bébé⁤ soit reconnu⁢ comme l’enfant de Kiptum et que ses droits soient protégés. Avec émotion, elle a déclaré: “Nous avons eu un‍ enfant ​ensemble et je veux que le monde sache que cet enfant est de lui.” Cette histoire⁢ relève non seulement ‍du drame familial, mais soulève également des questions sur la responsabilité des athlètes envers leurs ‍proches et sur ​la prise en charge ⁢des bébés nés hors mariage.

Il met également en avant la⁤ nécessité pour le système judiciaire de reconnaître ‍la⁢ paternité et de protéger les droits des enfants.⁢ Malheureusement, cela a‍ également révélé le manque de ‍reconnaissance de la famille de Kiptum envers Awuor et‌ leur enfant, malgré leur relation et leur enfant ensemble.

Le marathonien sera enterré à son domicile ​à Naiberi, lors d’une cérémonie présidée par le vice-président William Ruto. Quant à Awuor et ​son bébé, leur futur reste incertain, mais cette histoire a mis en lumière la vulnérabilité⁢ des femmes dans⁤ de tels arrangements et la nécessité d’une reconnaissance légale pour leur ⁤protection.

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