Le professeur Christian Fouelefack, leader du parti PTN et enseignant à l’Université de Dschang, a été arrêté ce matin par la police centrale de Dschang suite à la mort tragique de son épouse il y a quelques semaines. Cette nouvelle a choqué la communauté universitaire et politique, laissant de nombreuses questions en suspens.
D’après les autorités policières, l’arrestation de Fouelefack était nécessaire pour éviter qu’il ne prenne la fuite. Cela soulève la question de savoir s’il était vraiment capable de commettre un tel acte. Des sources ont également révélé que cette arrestation faisait suite à des accusations de violence conjugale persistante à l’encontre de son épouse, qui a finalement succombé à ses blessures.
Les rapports médicaux ont confirmé que la cause du décès de l’épouse de Fouelefack était un traumatisme crânien causé par des violences physiques. Ces informations choquantes ont été corroborées par la famille de la défunte ainsi que par le rapport du médecin légiste.
Au vu de ces éléments, le professeur de l’Université de Dschang demande une nouvelle autopsie pour prouver son innocence, mais la famille de la défunte refuse tout contact avec lui.
Des informations ont également été dévoilées sur les antécédents de violence conjugale de Fouelefack envers sa femme. Ce qui s’est révélé fatal pour elle le 13 avril dernier. Actuellement, il est détenu au commissariat central de Dschang, mais pour combien de temps encore ? Cette affaire suscite de nombreuses réactions au sein de la communauté universitaire et politique. Les questions de justice, de violence conjugale et du bien-être des femmes sont sur toutes les lèvres.
En tant que société, nous devons revoir notre façon de traiter ces problèmes et prendre des mesures pour protéger les victimes de ce type de violence. Mais surtout, cette tragédie nous rappelle que derrière chaque cas de violence conjugale, il y a une vie brisée, une famille dévastée et une communauté bouleversée.