Le grand souhait des fans de football était de voir la phase retour du championnat professionnel Mtn Elite One se dérouler dans les meilleures conditions, mais la Fédération camerounaise de football (Fécafoot) a décidé de jouer un mauvais tour à Victoria United.
En effet, après avoir programmé la reprise de la phase retour malgré l’absence d’homologation des matchs de la phase aller, la Commission fédérale d’homologation et de discipline a finalement publié ses décisions le jour de la reprise. Victoria United en a été la principale victime, avec des décisions lourdes de conséquences pour le club.
Le premier coup est porté sur le match Victoria United – Apejes de Mfou, où le club de Limbé n’a pas fait son apparition sur le terrain malgré une présence de ses officiels à la réunion technique. Résultat : une défaite par forfait avec un score de 0-3 et une perte de 6 points au classement général.
Mais ce n’est pas tout, car la Fécafoot a également pris une lourde décision à l’encontre de Victoria United pour une affaire liée à un joueur contre UMS de Loum. La licence du joueur en question a été déclarée contrefaite, entraînant des sanctions sévères et une victoire par pénalité pour UMS.
La Commission a également rendu d’autres décisions impliquant des matchs à rejouer et des amendes à payer. Mais ces décisions n’ont pas affecté les résultats des rencontres en question. Les clubs ont cinq jours pour interjeter appel, et la pression est donc sur les épaules de Victoria United et ses supporters pour essayer de renverser ces décisions.
Espérons que ces complications n’auront pas un impact sur la suite du championnat et que les équipes pourront se concentrer sur leur jeu plutôt que sur les décisions de la Commission d’homologation et de discipline. Les fans de football ne méritent que le meilleur et les clubs doivent tout faire pour leur offrir des matchs passionnants et du travail bien fait. Restons donc positifs et soutenons nos équipes favorites malgré ces aléas. Le football doit rester un sport de passion et de plaisir, ne l’oublions pas.